Les prochaines élections législatives et régionales au Togo pourraient-elles marquer un tournant décisif dans les relations franco-togolaises ? Des informations fiables suggèrent qu’une vaste manifestation est en préparation pour dénoncer les pratiques impérialistes de la France, incarnées par la présence de son ambassadeur, Augustin Favereau, et par l’influence de médias RFI et France 24.
Des messages éphémères, interceptés avant leur suppression dans des groupes WhatsApp dits « Panafricains », révèlent l’organisation imminente de protestations publiques.
L’objectif ?
Mettre en lumière et contester les méthodes par lesquelles la France cherche à maintenir son emprise sur le Togo via des stratégies diplomatiques et des outils médiatiques.
L’identité des organisateurs reste mystérieuse, dissimulant soigneusement leurs traces pour éviter d’éventuelles répressions de Paris. Malgré la réticence des personnalités publiques togolaises à commenter officiellement, sans s’opposer formellement à une telle initiative,elles rappellent que le droit à la manifestation est garanti pour tous, à condition de respecter les lois en vigueur.
La question demeure : assisterons-nous à des scènes similaires à celles observées dans d’autres capitales africaines, où d’immenses pancartes dénoncent l’influence française et où les manifestants scandent des slogans anti-français ?
Cette mobilisation, si elle est autorisée par les autorités, pourrait sérieusement ébranler la position et les intérêts de la France au Togo.
La tension monte alors que nous continuons nos investigations sur cette vague de contestation qui pourrait bien redéfinir les relations franco-togolaises sur la scène internationale.
@LeConfidentiel